CHASSE OUVERTE CONTRE L'ÉCOLOGIE POLITIQUE
Des menaces pèsent sur l'écologie politique en France.
Les grands partis politiques de pouvoir, soutenus pas tous les lobbies anti-écologistes (au premier rang desquels se trouvent les principaux pollueurs) ont juré de rayer les partis écologistes du champ politique et ce pour deux raisons principales :
- l'écologie politique menace la réélection des candidats des grands partis
- elle gêne les relations entre les gouvernements et les lobbies anti-écologistes.
- elle gêne les relations entre les gouvernements et les lobbies anti-écologistes.
C'est donc la disparition de tous les partis écologistes qui est programmée. Il serait temps d'en prendre conscience.
Les grands partis se débarrasseront des partis écologistes :
- en changeant régulièrement les lois et règlements afin de rendre de plus en plus compliqué les candidatures des écologistes.
- en récupérant l'écologie à l'intérieur des grands partis grâce à des propositions de postes intéressants aux écologistes les plus médiatisés.
- en transférant aux associations (qui ne leur prennent pas de voix et qu'ils subventionnent largement) les questions d'environnement. L'opération Nicolas Hulot qui a délivré des "satisfecits" à un grand nombre de candidats à la présidentielle, à l'exception des candidats écologistes comme Antoine Waechter ou France Gamerre a eu pour résultat final de faire passer l'Écologie Politique de 5,5% à 1.5%.
- en utilisant certains petits partis écologistes dépendant d'eux comme « cheval de troie » pour « détruire» les autres partis écologistes. Le Tréfle-Nouveaux Écologistes étant probablement de ceux-là.
- en récupérant l'écologie à l'intérieur des grands partis grâce à des propositions de postes intéressants aux écologistes les plus médiatisés.
- en transférant aux associations (qui ne leur prennent pas de voix et qu'ils subventionnent largement) les questions d'environnement. L'opération Nicolas Hulot qui a délivré des "satisfecits" à un grand nombre de candidats à la présidentielle, à l'exception des candidats écologistes comme Antoine Waechter ou France Gamerre a eu pour résultat final de faire passer l'Écologie Politique de 5,5% à 1.5%.
- en utilisant certains petits partis écologistes dépendant d'eux comme « cheval de troie » pour « détruire» les autres partis écologistes. Le Tréfle-Nouveaux Écologistes étant probablement de ceux-là.
La méthode est simple, c'est celle du chasseur.
Au lieu d'attaquer tous les écologistes en même temps, on les élimine les uns après les autres.
La loi électorale de 2003 empêchera les partis les plus faibles d'obtenir un financement après ces législatives 2007. Ensuite viendra la chasse aux autres. Parmi les premiers visés par la meute se trouve Génération Écologie victime d'une trahison du « Trèfle-Nouveaux Écologistes » lequel n'a pas respecté l'accord électoral avec le MEI, GE, et le MHAN.
Demain, ce sera le tour du MEI et après-demain celui des Verts.
Ne pas prendre conscience de cette situation serait catastrophique pour l'avenir de l'Écologie Politique en France, car sans elle, l'écologie ne dépendra plus que du bon vouloir des partis ayant des intérêts souvent très opposés.
Pour résister à cette chasse, il n'y a qu'une solution: le regroupement de tous les écologistes dans un parti unique dont la vocation principale sera la « Défense de l'Environnement » et la mise en oeuvre d'une politique de « Développement Durable ».
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Catherine VILLA selon un article de Michel Villeneuve (Porte parole de Génération Écologie)